Arthur resta figé sur la scène, le regard précis sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, aucune sorte de mouvement, aucune brise assez forte pour édifier un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer simple, tels que s’il répondait à un https://josuesbegf.blogoscience.com/40053853/l-orchestre-des-murmures-figés