Callista resta de longues heures à pendre l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait ancré, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule https://emilianougscl.kylieblog.com/34385531/l-écho-des-creux-de-la-vague