Les spores du Namtar flottaient au quotidien dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de journée et de brouillard. Invisibles à bien l’œil nu, elles dessinaient des descriptions complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de celui qui les respiraient. Dans un minimum lumineux, autour de certaines clairières, https://martinajnqs.blogaritma.com/32378835/la-racine-des-visions